En lisant ce matin l’article : « La pleine conscience, un atout en faveur des ventres plats », j’ai fait GLUPS !
Je ne connais pas précisément l’étude citée dans cet article, mais j’aimerai apporter une vison plus large de ce qu’est l’alimentation en pleine conscience.
Se nourrir en pleine conscience commence au moment où l’on fait ses courses. Nous pouvons à cet instant nous connecter fortement à l’énergie de ceux qui ont permis que ces produits arrivent sur nos étales et nous relier aux éléments de la nature, le soleil, l’eau, la terre. Conscient de l’origine des produits que nous consommons, nous serons tenté de nous diriger vers des produits qui sont sains et adaptés à nos besoins et dont l’empreinte écologique est la moins pesante pour l’environnement.
Le deuxième moment fort dans l’alimentation en pleine conscience, est la préparation ; elle peut être extrêmement simple ; laver, couper une tomate, ajouter un filet d’huile, mais le faire avec la délicate présence de notre esprit rend ce moment sacré. Le soin et la créativité que l’on porte à la préparation sont notre touche d’amour que l’on donne aux autres et à soi même.
Enfin vient le moment du repas, observer ses sensations au moyen de nos 5 sens, notre niveau de satiété, nos émotions et nos pensées, grâce à la pleine présence rend ce moment tout à fait réel ; la nourriture va ainsi nourrir notre corps mais surtout notre esprit et notre cœur en nous apportant du réconfort.
Se nourrir en pleine conscience est loin d’être un énième outil pour limiter le tour de taille, c’est une sagesse ancienne pour de nombreux défis modernes.
J’espère que ma vison de l’alimentation en pleine conscience vous aura plu.